Portraits de Sfaxiens
Deuxième ville de Tunisie et centre économique du pays, Sfax est riche de son port et de son activité industrielles.
J’ai découvert que la majorité des Sfaxiens ne vit plus dans la médina. Ils préfèrent habiter à l’extérieur ou partir s’installer à Tunis.
En retournant à Sfax, j’ai voulu me concentrer sur les personnes qui sont restées dans la médina, que ce soit pour y travailler ou pour y vivre. Malgré les difficultés dues à tous les changements qu’a subis la médina, ses habitants ont toujours éprouvé de l’amour pour leur ville et essayé de préserver leurs traditions et leur savoir-vivre. Connue pour son sens des affaires, Sfax a le premier port de commerce de Tunisie.
« Avec le noir et blanc j’ai essayé d’arrêter le temps : de la médina à la ville coloniale, de la gare à la zone industrielle, en arrivant au port de pêche : 4 lieux qui illustrent le rapport différent avec le temps. Ouvrier derrière son casque à soudure, coiffeur derrière sa serviette, bijoutier derrière sa loupe, grand-mère derrière son ordinateur, tous témoignent de toute une culture ».
La question de l’identité est toujours au centre de mon travail photographique.
Deuxième ville de Tunisie et centre économique du pays, Sfax est riche de son port et de son activité industrielles.
J’ai découvert que la majorité des Sfaxiens ne vit plus dans la médina. Ils préfèrent habiter à l’extérieur ou partir s’installer à Tunis.
En retournant à Sfax, j’ai voulu me concentrer sur les personnes qui sont restées dans la médina, que ce soit pour y travailler ou pour y vivre. Malgré les difficultés dues à tous les changements qu’a subis la médina, ses habitants ont toujours éprouvé de l’amour pour leur ville et essayé de préserver leurs traditions et leur savoir-vivre. Connue pour son sens des affaires, Sfax a le premier port de commerce de Tunisie.
« Avec le noir et blanc j’ai essayé d’arrêter le temps : de la médina à la ville coloniale, de la gare à la zone industrielle, en arrivant au port de pêche : 4 lieux qui illustrent le rapport différent avec le temps. Ouvrier derrière son casque à soudure, coiffeur derrière sa serviette, bijoutier derrière sa loupe, grand-mère derrière son ordinateur, tous témoignent de toute une culture ».
La question de l’identité est toujours au centre de mon travail photographique.